
Des vaccins anticovid en vogue, on sait qu’ils n’empêchent pas le vacciné d’être contaminé voire de mourir de la maladie, qu’ils n’empêchent pas le vacciné de contaminer d’autres — vaccinés ou pas — et de ce fait, en dépit des assurances autoritaires émanant du milieu des fabricants, qu’ils n’empêchent pas la circulation du virus ; sous ce dernier rapport, des voix autorisées, quoique difficilement audibles, assurent même qu’il n’y a aucune différence entre vaccinés et non-vaccinés. Alors, ne reste pour les vaccins qu’un seul atout qui fait l’unanimité : le fait qu’ils empêchent les « formes graves ». Quand on dit que les vaccins anticovid empêchent les « formes graves », il faut prendre garde à ne pas prêter flanc à un consensus frauduleux.
En effet, sans vaccin, 99% des gens échappent aux formes graves.
Par le vocable « échapper au formes graves » veut-on alors dire que parmi le 1% de personnes qui peuvent développer les formes graves, le vaccin fait œuvre de protection jusqu’à un certain point et dans une proportion considérable ? Dans ce cas, force est de constater que cette proportion reste dans la limite des 1% de gens dont certains meurent à hauteur de 0,02%. On ne peut donc pas dire que ceux que le vaccin sauve des « formes graves » constituent une masse énorme ! Les gouvernements qui, en Occident ont tous fait l’option du tout vaccinal ne sont pas avares de précisions sur la mesure dans laquelle les vaccins empêchent les formes graves. Dans cet ordre d’idée, à l’instar de la présumée efficacité des vaccins qui avait été autoritairement bombardée à des niveaux himalayens par les fabricants, l’effet d’empêchement des formes graves est crédité d’un taux de 90% ! Idéalité confortable qui devrait rassurer les populations et mettre le grand nombre d’accord sur le bien fondé de la vaccination.
Mais si les vaccins empêchent les formes graves à hauteur de 90%, comme cela s’affirme sur tous les toits des médias main stream, ne suffit-il pas de vacciner les populations à risque bien identifiables — à savoir les séniors et les personnes atteintes de comorbidités diverses — et laisser les autres, notamment les jeunes de moins de 12 ans en paix par rapport à des virus aux multiples effets indésirables dont les plus graves sont peut-être à venir ?
Enfin, selon l’expérience des praticiens de terrain, ceux qui contre la doxa du tout vaccinal, ont pris le parti de soigner les malades en dépit de l’ordre contraire des autorités sanitaires et des gouvernements occidentaux, on peut tout aussi bien éviter les formes graves grâce à une prise en charge par des soins précoces. Ce qui veut dire que les vaccins n’ont pas le monopole de l’empêchement des formes graves.
Dans ce cas tout, le bruit que l’on fait autour des vaccins et de leur prouesse concernant les « formes graves » est au mieux une menterie publicitaire commanditée par Bigphrarma, au pire un enfumage délibéré des masses!
Aminou Balogun
