On sait que depuis le début de la pandémie, le gouvernent français nage en pleine contradiction, dans une orgie de décisions et contre décisions pour le moins ubuesque, ordres et contre ordres à n‘en plus finir.
Mais il semble qu‘ au regard du temps – seul juge des événements – et à la lumière du discours statistique dont est friand le gouvernement, la contradiction devient flagrante et absurde en même temps.
A en croire le gouvernement, la vaccination est une réussite, boostée par le discours comminatoire et irresponsable¹ de (Notre Tyran Marcheur) NTM Macron le 12 juillet 2021, et l’instauration du pass sanitaire qui s’est ensuivi. On avance désormais le chiffre fabuleux de 80% de vaccinés. Très bien ! que demande le peuple : la vaccination et le Qr Code ! A la grande joie des Ayatollah de la vaccination, érigée en remède magique et unique contre la maladie – au risque de donner raison aux « complotistes » qui poussent la malice à se demander, entre le vaccin et la maladie, où est le moyen et où est la fin ?
Quoi qu’il en soit, en France, on avance le chiffre de 80% de vaccinés selon les proclamations euphoriques de la quasi totalité des médias main stream qui, comme chacun sait, sont acquis au pouvoir et des agences aux mains du gouvernement. Dans le même temps, contraint par la dure loi de la réalité de faire un repli tactique à partir de sa positon inaugurale sur la présumée efficacité à 90% des vaccins, le système – entendez l’alliance méphistophélique entre le gouvernement et Bigpharma, s’est rabattu sur l’argument non moins fabuleux de l’empêchement des formes graves : là aussi avec le même chiffre lénifiant de 90% d’efficacité !
Mais, dans ces affirmations à l’emporte-pièce destinées à endormir l’opinion, ceux qui mènent la danse macabre du Covid depuis bientôt deux ans n’ont cure de la constance probatoire du réel. S’en remettant à l’ordre de leurs fantasmes, ils font fi du réel et prennent volontiers leurs vessies pour des lanternes.
Et pourtant, force est de revenir au réel. Ainsi, au vu de tout ce discours triomphaliste sur l’efficacité des vaccins, qu’en est-il du prétexte aux mesures de contraintes privilégiées par le gouvernement depuis le début de la crise ? A en croire ce discours, les mesures contraignantes seraient dues au taux de saturation des services de réanimation. Mais au vu du succès de la vaccination et de l’efficacité des vaccins la légitimité de ces mesures est sujette à caution. A moins que le gouvernement ne fasse pas le lien entre ses affirmations successives et la réalité. Allons donc : on ne peut pas dire que les vaccins empêchent à 90% de se retrouver en réa, que 80 % de gens sont vaccinés et continuer à craindre la saturation des services de réanimation ! En toute logique, si 80% des gens sont vaccinés en France et que les vaccins empêchent à 90% le développement des formes graves, mécaniquement cet état de choses devrait se refléter dans le taux de remplissage des services de réanimation.
Désormais, les patients de ces services devraient se recruter parmi les 10% résiduels des 80% de personnes vaccinées plus les 20% de non vaccinés, soit 28% des candidats potentiels à la réanimation avant la vaccination !
Donc que veut le gouvernement ? Pourquoi continue-t-il d’imposer des mesures liberticides aux Français alors qu’il n’a plus à gérer désormais que 28% de ceux qui pouvaient aller en réanimation avant la vaccination ? De quoi parle-t-on ?
Aminou Balogun et Ahandeci Berlioz
¹ Irresponsable d’imposer un vaccin encore à l’étude et qui n’a reçu qu’une autorisation provisoire de mise sur le marché ; irresponsable et immoral d’imposer un vaccin pour l’administration duquel le consentement éclairé du patient est requis . Quand on sait que toutes les institutions législatives et de contrôle de l’action gouvernementale — Conseil d’État, Parlement, Sénat, Conseil constitutionnel — ont avalisé cet oukase, on comprend que le totalitarisme est là et bien là
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