
Sans tomber dans le jeu ambiant d’une régression covidiste vers le Moyen-âge où se tenaient des procès d’animaux, j’ose ester en justice et par-là accuser Sars Cov2.
Oui, J’accuse Sars-Cov2 de complicité avec nombre d’États du monde en lien avec Bigpharma et les néo-mondains transhumanistes, dans leur guerre contre les peuples en vue du contrôle numérique totale des citoyens. Car qu’est-ce qui empêche ce virus de tirer sa révérence depuis bientôt deux ans qu’il a paru soi-disant en Chine ? Un tel retrait aurait l’avantage de souligner noir sur blanc le ridicule de l’acharnement des états occidentaux pressés de se siniser dans des méthodes de contrôle des citoyens jusque-là inédites, en conduisant peu à peu les masses comme un troupeau vers l’abattoir.
J’accuse Sars-Cov2 de faire le jeu des gouvernements Occidentaux qui, excipant d’une gravité imaginaire du Covid, la maladie censée en découler, prennent à tour de bras et en dépit du bon sens des décisions liberticides contre leurs peuples. J’accuse Sars-Cov2 d’être le prétexte d’un totalitarisme vaccinal qui embrase le monde sous la houlette paternaliste de l’Occident, avec son lot de mensonges et d’oppression.
J’accuse Sars-Cov2 de prendre des vacances en été, le temps de laisser souffler les masses abruties par de longs mois de propagande d’état pour réapparaître subrepticement et inévitablement sur une pichenette de l’OMS –une agence prise en otage par une clique arrogante affligée d’obésité financière ; j’accuse Sars-Cov2 de ce fait de cautionner la continuité d’une guerre contre les populations en vue de les nanoparticuler, de dématérialiser les monnaies, de créer des systèmes de crédit social à la chinoise pour contrôler les citoyens.
J’accuse Sars-Cov2 d’être devenu le nom viral d’une suspension généralisée du bon sens, d’un assénement de discours contradictoires, de mensonges grotesques diffusés en boucle par les médias et érigés en évidences, de la promotion de produits dangereux et inefficaces baptisés abusivement vaccin, et qui sont les seuls dans leur genre et dans l’histoire de la médecine à n’avoir pas d’effets secondaires.
Si seulement Sars-Cov2 voudrait bien s’éclipser avant que la terre entière n’ai reçu l’injection de ces présumés vaccins, dont l’inefficacité et la nocivité crèvent les yeux, alors nous pourrions parier sur sa bonne foi d’un virus sorti de la jupe de Mère Nature et non pas des opérations diaboliques de la recherche de gain de fonction…
Aminou Balogun
