
Quand on voit la mise en scène médiatique et politique de la naturalisation de l’idée de vaccination anticovid, on est ahuri par la capacité qu’ont certaines institutions, certains pouvoirs – financiers, médiatiques et/ou idéologiques – de déposséder l’humanité de sa faculté critique, son droit naturel à douter, à questionner son expérience, à penser par elle-même. Soudain, on se rend compte que tout est possible en dehors de la raison et de la liberté humaines.
Une coalition opaque de psychopathes transhumanistes et d’hommes d’affaire cupides mettent au point un soi-disant vaccin en moins d’une année alors qu’il ne faut pas moins d’une dizaine d’habitude ; ce vaccin mystérieux est basé sur un principe génique inédit – celui de l’ARN messager – dont personne ne sait rien des possibles conséquences, en l’absence et au mépris de tout recul pour en mesurer les éventuels effets nocifs à court ou moyen termes ; et, faisant le mort en ce qui concerne l’évaluation du rapport bénéfice/nuisance, ignorant l’examen des voies médicales alternatives, voire les combattant avec passion et virulence, cette venimeuse engeance de ventriloques stimule à sa guise ses marionnettes au pouvoir qui à leur tour parlent de campagne de vaccination comme d’une évidence biblique.
En clair, selon la volonté de ces puissances établies, la possibilité et le devoir pour l’homme de faire usage de sa raison en cas de nécessité sont devenus le passé d’une illusion philosophique.
Adio Badaga
