Un jour, un curé s’est engagé dans une course, sur son âne nommé « CUL », et il a gagné.
Le curé était tellement content de son âne qu’il s’est engagé de nouveau dans une autre course et il a gagné encore une fois.
Le journal local a écrit en première page:
Le CUL DU CURE VA DE L’AVANT.
L’évêque était tellement contrarié par ce genre de
publicité qu’il a ordonné au curé de ne pas inscrire l’âne dans une autre course.
Le journal écrit en gros titre le lendemain:
LE CUL DU CURE DÉPLAIT À L’ÉVEQUE ;
C’en était trop pour l’évêque alors il ordonna au curé de se débarrasser de l’âne.
Le curé a décidé de le donner à une religieuse dans un couvent proche.
Le journal local entendant la nouvelle, a posté
le titre suivant le lendemain:
UNE NONNE A LE MEILLEUR CUL DE LA VILLE.
L’évêque s’est évanoui pour 24 h. A son réveil, il a informé la religieuse qu’elle devrait se débarrasser de l’âne alors celle-ci l’a vendu à une ferme pour 10 €.
Le lendemain, le journal disait:
UNE NONNE VEND SON CUL POUR 10 €
C’en était trop pour l’évêque alors il ordonne à la religieuse de racheter l’âne et le conduire dans les plaines où il pourrait courir à l’état sauvage.
Le lendemain, les titres se lisaient comme suit:
LA NONNE ANNONCE QUE SON CUL EST LIBRE ET À L’ÉTAT SAUVAGE.
L’évêque a été enterré le lendemain et plus précisément cet samedi dans sa paroisse diocésaine.
La morale de l’histoire est. . .
Être préoccupé par l’opinion publique peut vous apporter beaucoup de chagrin et de misère. . .
Et même, raccourcir votre vie.
Alors soyez vous-même et profitez de la vie.
Arrêtez de vous inquiéter pour le cul de tout le monde et juste vous occuper de vos propres fesses !!!
Vous vivrez plus longtemps!
Auteur inconnu