
Avec un peu de bonne volonté, les médias sont capables de mettre fin au feuilleton covid, cette manipulation planétaire par la terreur pour ne pas avoir à parler des origines douteuses d’un virus et du droit d’en fabriquer à des fins inavouables.
Du reste, comme on le voit, la guerre d’Ukraine, qui a détrôné covid en moins de temps qu’il ne faut pour le dire, a prouvé que ce n’était qu’une affaire de terreur et d’hystérisation médiatiques politiquement assistée.
Mais la vraie raison de la capacité des médias de siffler la fin de ce jeu sinistre et inhumain est le bel unanimisme ou la conspiration du silence sur les effets secondaires de la vaccination. Alors que ces effets plus ou moins graves se comptent par centaines de milliers et les morts par milliers, les médias n’en ont pour ainsi dire jamais fait état : entre euphémisme et dénégation voire négation. Et ce négationnisme, qui en vaut un autre, n’a ému personne. Dans les démocraties ou régimes qui se disent tels en Occident, les choses, ou les événement existent selon le décret des médias, qui ont maintenant un pouvoir ontologique d’une violence sociale catégorique. Quand on sait que les effets secondaires ont certainement tué et tuent plus que la guerre d’Ukraine qui elle existe et crève les yeux, on mesure bien le caractère arbitraire de cette violence ontologique des médias.
Donc avec un peu de bonne volonté les médias occidentaux, qui ont perdu toute dignité, peuvent se racheter en conjuguant le covid au passé révolu.
Adenifuja Bolaji
