
L’oppression covidiste est — c’est le cas de le dire — en marche en France. Elle est réglée comme du papier à musique et procède d’un conditionnement psychologique implacable. Ce conditionnement est appliqué en trois étapes.
- l’étape générale qui est le confinement. Il frappe toute la population sans discrimination, copiée de l’exemple de la Chine, qui n’a pas seulement donné le virus mais aussi le mode d’emploi de la réaction immédiate à son égard.
- l’étape du pass sanitaire, qui fait de la vaccination une condition centrale mais non exclusive à l’accès à des lieux de loisir essentiels. Il apparaît comme une gratification des vaccinés et une manière de sanctionner les non-vaccinés auxquels on les oppose, dans un manichéisme délirant et autoritaire, qui n’a que faire de la charge d’une preuve dont les médias et le pouvoir n’ont que faire. Cette étape, de par le mépris de la logique et du bon sens sur lequel elle se fonde, le refus de voir que la vaccination génère des effets secondaires graves, et n’empêche pas la circulation du virus, fait du pass sanitaire un sésame magique et politique sans fondement logique ni scientifique.
- l’étape du pass vaccinal, vise à s’assurer de pucer, pardon de vacciner la France entière. Pour la mener à son terme logique et atteindre l’objectif fixé, il suffira d’étendre le scope d’exclusion du pass vaccinal à tous les actes de la vie sociale.
Ainsi, les derniers résistants à la vaccination, devenus des parias et des ennemis déclarés dans leur propre pays, seront étranglés. Ils mourront ou seront vaccinés ; ce qui revient au même du point de vue de l’économie politique de l’État.
Ahandeci Berlioz
