
Naguère, sans remonter jusqu’à sa création, même dans les année 70 et une partie des années 80, le Journal le Monde était un vrai et grand journal de référence, où l’analyse et la critique clairvoyantes, mais aussi la culture avaient une place de choix. Elles étaient même sa marque distinctive.
Mais à partir du milieu des années 80, le socle de ces atouts a commencé à se déliter, petit à petit, au point où le Journal fondé par Hubert Beuve-Méry est devenu l’ombre de lui-même, un papier éminemment douteux, qui vit sur sa notoriété posthume derrière laquelle s’abrite une tourbe d’intrigants – lobbies, groupes d’intérêts, milliardaires, tranhumanistes, etc..— pour manipuler les citoyens. La culture l’a déserté, ne parlons plus de l’analyse pertinente des faits et de la marche du monde encore moins de la critique, toutes soucieuses de ménager les intérêts des sponsors et autres généreux donateurs plus ou moins occultes. On sait très bien qu’un eugéniste intrigant comme Bill Gates fait partie de ces généreux donateurs. Or, qui dit Bill Gates dit Bigpharma, et tout le système des chevaliers du transhumanisme qui entretient savamment la zizanie autour du Covid-19.
Deux titres choisis au hasard sur la page de l’édition en ligne du Journal le Monde laissent pantois par la charge de manipulation qu’ils concentrent dans l’intérêt douteux d’un système bien établi.

Le premier :
« Cancers, infarctus, AVC… Ces pathologies victimes indirectes du Covid-19 »
« Alors que la deuxième vague de la pandémie monte en France, les conséquences de la désorganisation du système de santé lors du premier épisode sont palpables. Tour d’horizon des dégâts collatéraux du coronavirus. »
Dans ce titre, après une subtile naturalisations d’une deuxième vague que rien de sérieux n’étaye, on abonde dans le sens de la logique scandaleuse de l’éclipse des pathologies habituelles par le Covid ; on fait semblant de les évoquer, pour mieux cacher la grande proportion des morts occasionnés par ces pathologies que l’on affecte tendancieusement au coronavirus dès lors que le discours inflationniste instauré par le gouvernement sur le taux de contamination l’autorise et le légitime.
Or selon le professeur Druais « Il y a environ 1 500 à 1 700 décès par jour en France toutes causes confondues, hors épidémie de Covid-19. Environ 1 000 personnes qui décèdent ont plus de 75 ans et meurent souvent de maladies chroniques. Faute de suivi, la mortalité de ces personnes pourrait être majorée de 10 %, ce qui représenterait environ 100 morts supplémentaires par jour »
On peut donc supposer sans verser dans un délire associationniste aigu, que la centaine de morts glanés chaque jour dans les champs désertés des autres pathologies puissent être habilement affectés au Covid-19, dans un contexte où on nous inonde de chiffres sur l’accroissement exponentiel du nombre de cas. Cette façon de soutenir le discours de la seconde vague est de bonne guerre.
C’est avec la même astuce qu’une fois leur but présumable atteint – vendre à fond le Remdésivir et autres merdes onéreuses et toxiques du même acabit, et inoculer leur vaccin piégé aux pauvres populations mises sous pressions non-stop depuis des mois, ils vous expliqueront avec une apparence de sincérité et de pertinence que des erreurs d’affectation avaient été commises, que maints morts du Covid dont le nombre inquiétant avait justifié certaines mesures, étaient pour une part non-négligeable des morts par cancers, infarctus, diabète, AVC, etc.. Car le moment venu, les chiffres que l’on fait mentir, parleront d’eux-mêmes et cracheront leur pure vérité. Comme l’a dit, le Professeur Gilbert Montagnier, la vérité scientifique ne peut rester cachée longtemps.
Et le Journal le Monde, Grand Journal de référence et de la pensée, qui a le sens de l’anticipation, prépare le terrain…
Deuxième titre abracadabrantesque :
Le libéralisme d’Emmanuel Macron contrarié par les crises sanitaire, sécuritaire et économique
« Les projets du président de la République semblent suspendus au moment où les crises sanitaire et terroriste frappent la France, et qu’une majorité de citoyens réclame un tour de vis. »
Il s’agit d’un beau morceau d’enfumage, un vrai consensus frauduleux subtilement administré. On cite deux problèmes complètement hétérogènes, unifié par le seul mot crise, à savoir la crise sanitaire et la crise sécuritaire – in fine le terrorisme, et on leur adjoint la même réponse supposée réclamée par les Français : «un tour de vis.» Bien que cette adjonction justificative soit solidairement affectée aux deux crises, il n’est pas sûr que les Français, dans leur grande majorité réclament un tour de vis du côté des mesures sanitaires prises ou à prendre par le gouvernement. Bien que le journal le sache il laisse entendre ou comprendre le contraire, subrepticement au détour d’une superposition causale. Ce procédé, à peine subliminal est tendancieux au bas mot.
Avec le temps, le doute s’installe dans le Monde
Berlioz Ahancesi
