
Il paraît que dos au mur et enragé par les conséquences de ses dernières actions terroristes contre la Russie — que la France a été chargée par les États-Unis de sublimer — auxquelles celle-ci a répondu avec force et panache ; il paraît que, fou de rage, Petit zelinsky aurait dit, pince sans rire. « Je vais ravager la Russie ! »
Ce à quoi Poutine, qui généralement ne répond pas aux outrances de cette marionnette aurait répondu : « Avec quoi ? »
Peut-être avec des armes magiques, qui sait !
Remarquez qu’il y a de la logique – la logique du délire – dans le cri petitzelinskste.
Il met en opposition d’un côté sa personne, (« Je ») comme le fameux et non moins apocryphe « L’état, c’est moi » de Louis XIV ; et de l’autre côté, la Russie. D’un côté, l’une des marionnettes les plus minables du monde et de l’autre le pays le plus vaste, la plus grande puissance militaire du monde. Seuls contre tous en somme !
Petit zelinsky suant en tee-shirt a raison. Car il ne pouvait plus, dans les faits, opposer l’Ukraine, ruinée et laminée à la Russie, forte, progressant sur tous les fronts – militaire, diplomatique et surtout économique — Alors, plongeant dans les profondeurs abyssales du délire, il promet, lui, Petit zelinsky en t-shirt suant, de ravager la Russie, la Grande Russie, l’Éternelle Russie, rien que ça ! Vaste programme ! Du courage, Petit zelinsky, à ce train, tu deviendras grand !
Boris Azzedine
