
Il y a une maladie infectieuse à syndrome respiratoire sévère qui sévit depuis au moins dix mois dans le monde et, en Occident, personne n’est capable de dire clairement comment on peut essayer de la soigner. Hormis une approche polémique qui privilégie la terreur, la tension et la psychose sur fond de deux mamelles numériques érigées en épouvantail : le nombre croissant de tests présumés positifs et le nombre tout aussi croissant de lits en réanimation.
On est allé jusqu’à rejeter et diaboliser un protocole simple proposé par un spécialiste de renom, au motif que la molécule sur laquelle il est basé, et qui est en usage depuis plusieurs décennies sur des milliards de personnes, aurait des effets secondaires ! Pendant ce temps, les populations sont désemparées et ne savent plus à quel sain se vouer ; les médias, loin d’éclairer les citoyens, participent activement à cette opacité surréelle, en s’évertuant à jouer à plus idiots qu’ils ne sont, en évitant soigneusement de poser les bonnes questions.
Est-ce bien raisonnable ? La Chine, pays d’où serait parti le virus, et qu’on présente comme une dictature, en a déjà fini avec cette maladie. Ouvrons un peu les yeux, il y a quelque chose de bizarre dans cette histoire. L’occident a-t-il vendu son âme ? Si oui, à qui et à quel prix ? Où est l’Occident champion de la rationalité ?
Au Secours Descartes !
Aminou Balogun
