«Le franc cfa d’Afrique de l’ouest est mort, nous dit-on, et son fantôme vient hanter l’eco que nous attendions de la Cedeao. Le compte d’opérations est supprimé, mais où vont donc les réserves de change? Les représentants français siégeant au sein des instances de la Bceao vont être retirés, alors qu’on nous disait qu’ils n’existent pas. La France se retire de la gouvernance de la monnaie, affirment-ils, alors que la garantie de celle-ci reste assurée par Paris. La parité aussi restera fixe. En fait, rien n’a changé. Qu’en pense la Cedeao, dont la monnaie vient d’être court-circuitée par Ouattara? Qu’en pense l’Uemoa, dont la monnaie vient d’être exécutée par Ouattara? La France, dont nous exigeons qu’elle mette fin à ses pratiques post coloniales, prétend avoir fait un pas historique en compagnie de Ouattara, qui se révèle être, comme d’habitude, le maintien du statu quo. Elle avance sans bouger. Juste une réformette. Le combat continue.»
Prof. Mamadou Koulibaly, candidat de LIDER à l’élection présidentielle #MamKoul2020
Eh oui , toutes les voix des africains francophones ne sont pas suffisantes, on dirait, pour tuer le vers dans le fruit parce que le vers en est maintenant presque sorti au grand dam de nos pauvres âmes qui peinent à s’echapper de l’enfer dans lequel nous sommes.
LES BILLETS DE CFA ME BRULENT LES DOIGTS.
Les anglophones qui pourraient ajouter leurs voix aux nôtres en entendent parler sporadiquement et se demandent:
Quelle est cette histoire de Fou ?
Puis s’exclament :
This is Madness !!!
Ils pensent que Ouattara et son maître à penser auraient dû depuis longtemps être enfermés dans un asile psychiatrique car les Fous, c’est bien eux.