Covid-19 : Formes Graves et Biaisées

Avec malice, les médias aux ordres de Bigpharma & Transhumanist Associates – autant dire la quasi-totalité du main stream ainsi que leurs avatars des réseaux sociaux – face à la désillusion sur l’efficacité mirifique des vaccins, ont très vite substitué un discours convenu sur l’empêchement présumé des formes graves aux rodomontades  inaugurales des laboratoires pharmaceutiques. A l’instar de la défunte efficacité à 90% des vaccins initialement annoncée tambour battant, cette vertu providentielle est érigée en nouveau mythe du triomphalisme scientiste.

Repli tactique s’il en est, hautement douteux et à tout le moins insidieux. En effet, quand on prend la peine d’examiner le discours comparatiste sur lequel est basée l’efficacité présumée contre les formes graves des soi-disant vaccins, on s’aperçoit qu’il est basé sur un consensus frauduleux et des données délibérément occultées.

En effet si on prend le cas de la France et l’ambiance de clivage créée par le discours violent de Macron le 12 juillet et son cortège de décisions liberticides et ségrégationnistes, on s’aperçoit que les médias ont été renforcés voire légitimés politiquement dans leur parti-pris de stigmatisation à longueur de journée des non-vaccinés, pointés du doigt et taxés d’inconscients ou d’hurluberlus égoïstes dépourvus d’esprit de solidarité et de patriotisme. Cette stigmatisation constitue une source affligeante de culpabilisation et de  vulnérabilité psychologique.

A l’inverse les personnes vaccinées sont couverts d’éloges, considérés comme patriotes responsables, des gens éclairés, en prise sur le réel,  solidaires et vertueux.

Le paradoxe de cette situation est illustré par le sort qui est fait aux personnels soignants que l’on faisait applaudir naguère et qui maintenant sont traités en parias, parce que non-vaccinés.

Ce clivage sociétal inauguré par le discours violent de Macron le 12 juillet, savamment organisé par son régime – parlement, sénat, conseil d’Etat, conseil constitutionnel, tous à sa solde – et soutenu par ceux-là même qui devaient protection à tous, induit une certaine inégalité psychologique dans la population entre les non-vaccinés et les personnes vaccinées. Bon an mal an, cette inégalité psychologique  est grosse d’implications médicales délibérément occultées.

En effet, la vulnérabilité psychologique est corrélée au stress qui diminue l’immunité, là où le bien-être psychologique et l’estime de soi l’augmentent et la renforcent. Par conséquent, c’est tout naturellement que les personnes non vaccinés, dans le contexte sociopolitique français actuel, jour et nuit stigmatisées, culpabilisées, menacées par les décisions gouvernementales, persécutées par les médias et le discours des dominants qui s’arrogent le monopôle de la scientificité, voient leur immunité baisser drastiquement en raison du stress  auquel ils sont soumis. Dans ces conditions, on comprend que ces populations ostracisées et ségréguées  en raison de leur réserve vis à vis de la vaccination succombent plus facilement à la maladie et en développent les formes graves.

En revanche, ceux dont les média ainsi que les divers organes du gouvernement encensent jour et nuit le patriotisme, la bravoure et l’esprit de responsabilité parce qu’ils ont choisi de se faire vacciner pour avoir le droit d’aller manger une glace dans un café, auront le vent immunitaire en poupe de leur navire sanitaire et, en conséquence, résisteront plus à la maladie surtout dans ses formes graves.

Cette clarification fondée sur la différence des conditions psychologiques inhérentes à la ségrégation induite par le statut vaccinal des citoyens montre la mauvaise foi et le parti pris frauduleux d’une comparaison entre personnes  non-vaccinées  et personnes vaccinées  sous le rapport du développement des formes graves de la maladie – nouveau lapin sorti du chapeau des magiciens Bigpharmacistes et transhumanistes associés –  formes aussi graves que biaisées.

Ahandeci Berlioz et Aminou Balogun

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