
Entre deux accusations de complotisme, les tenants du système avancent. Le cadre général de la supposée pandémie suffit et tout échappe à la raison, à la limite de la raison d’État, vu que c’est l’État d’urgence qui prévaut.
Une pandémie éclate, soit. C’est une chose qui peut arriver dans un monde qui a la prétention d’être un village global. Mais comment expliquer qu’on interdise d’y apporter ou proposer des soins ? Comment expliquer qu’on diabolise ou qu’on stigmatise ceux qui, de part leur métier, portés par l’élan de leur vocation proposent des soins aux populations ? Comment expliquer qu’en France on mette hors jeu l’armée des médecins de ville qui auraient dû être sur la ligne de front ? Comment expliquer qu’on refuse de fermer les yeux sur le risque de mort prétendu par une chloroquine qui n’a pas fait d’hécatombe parmi ses milliards d’usagers depuis des décennies alors qu’on ferme les yeux sur les milliers de morts pour quelques millions de vaccinés ? Et comment accepter cette substitution lexicale frauduleuse qui fait passer une thérapie génique en phase expérimentale pour un vaccin, et ceux à qui on l’inocule pour des vaccinés ?
D’une manière subtile on a fini par rationaliser la monomanie vaccinale. Le Covid ne se soigne pas, c’est entendu : il se vaccine. On a intégré ce logiciel piraté dans la tête des gens et ça fonctionne. Et pour que chacun marche au pas, on a allumé le feu de la peur partout en toutes choses, des chantages et des menaces – chantage à la mort, chantage à la culpabilisation, menaces de contravention. Pendant que les variants viennent opportunément chauffer la salle de ce théâtre de dupe et de menterie d’un spectacle qui sans eux aurait tué les populations plus d’ennui que de peur. Oui les variants sont devenus des justificateurs de la continuation naturelle de la pandémie, car imaginez quel risque d’avoir tant de vaccins sur les bras si la pandémie avait naïvement reflué ? Mais à l’évidence ce qu’il se passe depuis plus d’une année est moins naïf qu’on l’aurait souhaité. Et, pendant que les variants font rage dopant allègrement le business de Bigpharma, on avance sans vergogne ni états d’âme la loi sur le passe sanitaire. Idée saugrenue il y a encore quelques mois que quelques journalistes zélés, en hérauts stipendiés du système, proféraient avec ardeur dans le désert de la sidération collective, ce ballon d’essai du test des limites de la révolte populaire a fini par refaire surface, instruit justement de l’infinie élasticité de ces limites. La vaccination n’est pas obligatoire mais le passe vaccinal sera voté. Du foutage de gueule pur, comme tout ce qui se décide depuis plus d’une année que, en raison d’une hypothétique pandémie, le bon sens a cessé d’être la chose la mieux partagée et a été mis en vacance de manière indéterminée, remplacé par le cynisme et l’autoritarisme décomplexés.

Dans un tel contexte d’autoritarisme cynique, le pseudo-vaccin dont on naturalise le principe exclusif n’a pas besoin de justification, il n’a besoin de rien prouver. La vaccination tue-t-elle par milliers ? Ah, vous répondra-t-on, le nombre de morts est infime par rapport au nombre de vaccinés. Et le nombre de morts par Covid n’était-il pas infime par rapport au nombre d’habitants de la planète ? Pourquoi cet argument de l’infimité n’est valable que dans le cas de la vaccination ?
La « vaccination » n’empêche pas le virus de circuler ? Peu importe ! N’empêche-t-elle pas de contracter la maladie ? Peu importe ! Le pire est-il à craindre pour les vaccinés ? Peu importe !
Comme on le voit le paternalisme autoritaire est aux commandes sans états d’âme. La téléologie transhumaniste et affairiste dicte sa loi.
En fait, quand on voit le sans-gêne et le cynisme avec lesquels ces gens là agissent on se demande pourquoi il y a eu un virus pour justifier tout cela ? Un virus n’était pas nécessaire. Pourquoi a-t-on besoin du prétexte d’un virus pour gouverner comme en Chine ou en Russie ? Malgré son système autoritaire, la Chine est devenue une grande puissance qui avance. Comment lui résister avec nos mœurs démocratiques qui sont comme un frein ? Et si la prospérité façon Klaus Schwab se trouvait au-delà de la Démocratie ? Dans le contrôle du gouvernement mondial sur une humanité vaccinée contre la liberté et dont le libre arbitre est devenu le passé d’une illusion…
Adenifuja Bolaji

J’ai beaucoup aimé votre article! Notre liberté est prise en otage!!!
Oui, mais ne désespérons pas : les jours de la République en Masque sont comptés !