Plus le Covid se vide et devient l’ombre de lui-même, plus l’alarmisme politico-médiatique fait rage tristement dans la fourberie et l’autoritarisme d’Etat. En Europe, sous la houlette de la France secondée par l’Espagne, Big Pharma essaie de tenir à bout de bras la fiction d’une terreur virale continue – un virus étrange qui tient la dragée haute à l’humanité depuis 10 mois sans faiblir ! Alors qu’en Chine où il est censé avoir pris naissance, c’est le calme plat !

En Europe où on a déjà signé des contrats en or avec Big pharma qu’il faudra honorer, les pouvoirs et les médias chauffent la salle pendant que la star Vaccin anti-covid-19 se prépare à entrer en scène. Oui, il serait difficile de filer leur poison aux peuples-citoyens si le spectre de la peur ne hantait les esprits de façon non-stop. La santé est une affaire de finance et de contrat, mais c’est aussi une affaire de manipulation. Et c’est le sale boulot auquel se livrent les politiques et les médias inféodés. Alors que le mal n’est plus que l’ombre de lui-même, partout ils répètent à l’envi que le mal s’aggrave. Pour se faire, ils se basent sur le nombre de tests positifs, leur nouveau dada statistique. Ils ne questionnent pas la signification méthodologique des tests,  peu leur chaut ce qui est testé et  l’adéquation des méthodes à la réalité de celui-ci. Ils ne se demandent pas non plus – car, ils ne le savent que trop, les malins ! – si on n’est pas déjà passé dans une situation de synonymie ontologique¹ – appeler par le même nom ce qui n’est plus le même – et refusent de nous donner le nombre de morts dont on nous rebattait les oreilles naguère quand le virus était actif.

Honteux d’être à ce point à la botte de Big pharma, en se foutant de la gueule des gens !

Aminou Balogun

¹Cf Aristote