
L’existence et la manifestation des variants chez les coronavirus ont été portées à l’attention du public par le professeur Didier Raoult, au moment où, occupés à le vilipender, les opposants à la stratégie des soins précoces s’acharnaient à le rendre inaudibles. Mais très vite, à court de justification et afin de relancer leur machine de manipulation, les mêmes contempteurs de Didier Raoult se sont jetés à bras raccourcis sur le concept de variant, devenu leur cheval de bataille, le schmilblick saisonnier qui permet à leur entreprise diabolique de persévérer dans son être.
Sinon pourquoi nous servent-ils à chaque saison un variant sur le mode incrémentiel des systèmes informatiques qui annonce l’évidence sinon la nécessité du prochain ? Ne serait-il pas plus honnête de s’en tenir au même covid et de cesser de lui trouver des noms saisonniers comme pour rationaliser sa persistance douteuse ? Pourquoi ne pas reconnaître que les stratégies de gestion sinon les fantasmes d’éradication de la maladie ont échoué plutôt que de vouloir faire croire au aux gens que la maladie continue parce qu’il y a des variants ?
Le discours des variants, en contradiction avec la stratégie du tout vaccinal, légitimé et impulsé par l’OMS, l’agence de publicité de Bill Gates, n’est qu’un masque hideux de l’échec d’une politique et le parti-pris de la manipulation de masse.
Adenifuja Bolaji
