
Incapables de faire leur preuve concrète selon l’acception classique définissant le vaccin comme une substance pathogène qui, inoculée à un individu, lui confère l’immunité contre une maladie, les soi-disant vaccins anti-covid ont eu beau jeu de redéployer leur efficacité sur le terrain d’une présumée protection contre les formes graves. Repli tactique sujet à caution et plus infalsifiable que la définition ordinaire de vaccin. Signalons que les formes graves de la maladie sont celles qui souvent font des victimes, et que le taux de mortalité du virus est inférieur à 0,01 %. A supposer même qu’il y ait cent fois plus de formes graves que les gens n’en meurent, alors on peut affirmer raisonnablement que les formes graves ne concernent pas plus de 1% de la population. Les affirmations tonitruantes sur l’efficacité des vaccins, — c’est-à dire leur présumée action contre les formes graves — méritent donc d’être relativisées. Et pourtant, notamment dans les pays occidentaux comme la France, où les pouvoirs publics se sont engagés contre vents et marées dans la politique aveugle du tout vaccinal, on n’a pas de mots assez élogieux sur l’intervention providentielle des vaccins. On verse à cet égard dans la dithyrambe sur leur efficacité.
Pire encore on attribue au vaccin tout le bénéfice du reflux apparent de la maladie. En France, on entend les autorités politiques et sanitaires dire que grâce au vaccin « nous sommes parvenus à une bien meilleure situation ». Le Ministre de la santé, Monsieur Véran peut exhorter ses concitoyens : « faites-vous vacciner, regardez le recul que nous avons ! » Une voix plus autorisée, celle de Monsieur Defraissy, Président du Conseil scientifique, n’hésite pas à dire que « l’avancée de la campagne de vaccination est la raison «fondamentale» de l’amélioration de la situation. »
Mais les médias quant à eux marchent sur des œufs et préfèrent donner dans la litote, le syllogisme frauduleux ou les sous entendus du genre : « Avec l’amélioration de l’épidémie en France et l’accélération de la vaccination, plusieurs villes ont déjà levé l’obligation du port du masque à l’extérieur. »
Ainsi tout est dû aux vaccins et à la réussite de la campagne de vaccination. Avant la vaccination c’était le désordre sanitaire, le danger de la chloroquine ou de l’ivemectine, écartés grâce au principe de précaution, après et avec la vaccination, exit le principe de précaution, plus d’effets secondaires, c’est la délivrance sanitaire à tous les étages. Pire, à en croire les rodomontades des stipendiés de Bigpharma et autres médecins plateau-télé, la présumée protection contre les forme graves conférée aux vaccins serait leur monopole exclusif.
Exit les connaissances accumulées par les praticiens et les soignants de tous niveaux et de tous ordres sur la maladie depuis deux ans ; exit les préceptes et principes médicaux martelés depuis le début de la pandémie par des spécialistes de haut niveau comme le Docteur Raoult ou le professeur Perronne, et que l’on peut résumer sous le triptyque : « diagnostiquer, isoler, traiter ». Et que dire des mesures de distanciation sociale, le port du masque toujours en vigueur ?
Non, toutes ces connaissances et mesures pourtant appliquées au quotidien n’ont servi à rien : seul le vaccin et la vaccination, justifient fondamentalement le recul de la maladie. A en croire ces messieurs, si la technologie n’était pas suffisamment avancée pour mettre au point et à disposition ces produits nommés abusivement vaccin en l’espace de six mois, l’humanité serait deux années après l’apparition du virus en train de crever comme des rats, et le mal ne s’en irait que lorsque le dernier des humains aura succombé à ses ravages.
Tout cela n’est pas sérieux. Le manichéisme délirant et la superbe scientiste des tenants du vaccin ne le cèdent en rien à l’alacrité troublante avec laquelle les politiques on cru devoir puiser dans l’époque actuelle les moyens idoines de mettre en phase leur volonté de contrôle des masses et la prétendue lutte contre le covid.
Tout cela mis bout à bout en fait beaucoup trop pour un seul virus. Quitte à déterminer à quel niveau il se situe – guerre bactériologique déguisée, insertion universelle de nanoparticules dans les corps humains à contrôler, dématérialisation prochaine des monnaies, transhumanisme en marche, cupidité et opportunisme des compagnies pharmaceutiques et leurs agents patentés, — le complot crève les yeux. La preuve en est que toutes les affirmations et les mises en garde des lanceurs d’alerte, qui naguère étaient accusés de complotisme se sont réalisées les unes après les autres. Les dangereux complotistes sont devenus au mieux des saints prophètes d’une humanité en sursis et bernée par une tourbe infecte de psychopathes qui ont décidé de reprendre à leur compte l’œuvre inachevée de Hitler.
Le vent a soufflé et nous avons vu l’anus du poulet covid !
Aminou Balogun et Ahandeci Berlioz
