Covid-19 : Bienvenue en Absurdistan

Quel est le véritable enjeu de la question vaccinale en Occident ? Depuis le début de ce qu’on a appelé pandémie, cette question est hantée par la passion – hantise aussi absurde que troublante. En effet, s’il y a une maladie dans une communauté humaine les gens unissent leurs efforts pour l’éradiquer. Or, en Occident, en  Europe surtout et particulièrement en France, les gens  s’étripent à longueur de temps sur comment gérer la maladie au lieu de s’unir pour l’éliminer. Pourtant cette unité-là est la condition sine qua non de la victoire sur la maladie, au lieu de quoi libre cours a été donné à la désunion, et à la division.

Une chose surprenante est la monomanie de la  priorité vaccinale qui va de pair avec le refus de soigner les malades,  la mise hors-jeu de toute  approche thérapeutique et la diabolisation  de toute médication – qu’elle vienne du tiers-monde comme la proposition de remède des malgaches ou d’Occident même comme certaines anciennes molécules dont l’efficacité est attestée par de nombreux publications et travaux  fort sérieux.

Pendant que les méfaits véritables des vaccins sont déniés ou euphémisés, on a fait grand bruit et on continue de faire grand bruit sur la dangerosité et l’inefficacité  présumées de vieilles molécules qui ont fait leurs preuves depuis plusieurs décennies et dont les effets secondaires sont dérisoires par rapport à l’hécatombe que suscite  la vaccination dans une conspiration du silence pour le moins scandaleuse.

Enfin, avec tout le grand bien qui est proclamé des vaccins – 90% d’efficacité dit-on ! – cela devrait suffire, au vu de ce que l’on sait maintenant de la maladie, pour que les esprits se calment. Dès lors, la logique aurait voulu qu’on vaccinât les populations vulnérables, et qu’on laissât libre choix aux autres qui ne sont pas les victimes potentielles de la maladie. D’autant plus qu’on manque de recul sur les effets à long terme de la thérapie génique au principe de nombre de ces vaccins. Mais non, en dépit de ces données, la passion repart derechef et l’obligation vaccinale devient la dernière pomme de discorde, comme s’il en fallait toujours  une !

On va jusqu’à créer un pass sanitaire, c’est-dire un prétexte instrumental d’obligation vaccinale, contraire à la liberté fondamentale des individus et au principe du secret médical. Cette décision tendancieuse amène tout esprit réfléchi et non enfermé dans le piège ambiant des  mensonges  pour enfants serinés à longueur de journée  à se poser une question simple, à savoir : est-ce que le covid est la fin et le pass le moyen ou au contraire est-ce que c’est le pass qui est la fin et le covid le moyen ? Cette question n’est ni conspirationniste ni insensée ; au contraire, elle  trouve sa pertinence dans  l’absurdité de la longue théorie des choix et décisions touchant à la gestion de cette soi-disant pandémie qui laisse perplexe quant à la volonté réelle de l’éradiquer avant d’avoir vacciné la terre entière.

Et le clou de cette absurdité est l’acharnement sur les jeunes et la lourde hypothèque sanitaire sur leur avenir que constitue l’obligation vaccinale. On sait qu’un jeune de 12 ans  a plus de chance de mourir du vaccin que du virus mais on veut le forcer  à se vacciner pour sauvegarder deux ans d’espérance de vie aux seniors.

On a beau entretenir un silence de mort sur les dizaines de milliers de morts suite aux vaccinations, on a beau mettre leurs morts sur le compte direct du covid, il reste que le forcing exercé sur la jeunesse aussi bien pour les risques  immédiats qu’on lui fait prendre que pour les incertitudes à long terme sur un principe thérapeutique inédit et dont le risque de graves effets secondaires à long terme n’est pas nul, achève de hisser le trouble et l’absurdité à leur comble – à moins de donner raison aux complotistes.

Adenifuja Bolaji

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Un commentaire

  1. Absurdistan ou Complotistan, le pays où les « complotistes », ces vilains, on senti le hold-up avant tout le monde…et ont eu le courage de le dire, quoi qu’il en coûte…

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