
Tant que les combattants contre l’ordre arbitraire qui s’installe dans les sociétés démocratiques sous prétexte d’une pandémie douteuse n’auront pas le courage de dénoncer tout haut les projets insanes du système de domination du monde – institutionnelle, économique et politique – engagé dans un mondialisme transhumaniste bienpensant, ils ne sont pas assurés de la victoire.
La logique brumeuse du discours dominant et ses mythes insidieux doivent être battus en brèche. Le chemin qui va de l’irruption non expliquée d’un virus dans le monde – un monde censé être plus développé que celui du 20ème siècle de la grippe espagnole à quoi on le réfère frauduleusement – à l’imposition de la vaccination et au pass sanitaire dans un pays démocratique comme la France, cette logique tordue et frauduleuse doit réveiller les esprits. Le combattant décomplexé ne doit plus avoir peur de dire qu’il y a anguille sous roche. Il doit se dire que la logique qui, pour sauver 0,1% de la population et une ou deux années d’espérance de vie, n’hésite pas à hypothéquer la santé et la vie des 99% et plus restants, notamment de la jeunesse et des générations futures, se dire que cette logique infâme n’est pas seulement mythologique mais pernicieuse et dangereuse à souhait. Comme un seul homme, il doit se lever et la combattre jusqu’à la victoire finale ; car il s’agit d’une logique du mensonge, de l’entourloupe, une logique qui cache des arrière-pensées programmatiques. Et pour dénoncer cela, il faut déjà commencer par appeler les choses par leur nom, un chat un chat, et perdre tout complexe par rapport aux accusations vicieuses de conspirationistes ou de complotistes inventées ou ressuscitées à dessein pour inhiber et culpabiliser les bonnes âmes.
Par exemple la question de l’efficacité présumée des vaccins fait partie de cette logique insidieuse qui avance masquée entre mythes et infantilisation des citoyens, mépris de leur bon sens. Les vaccins sont efficaces nous dit-on à 90, 95, voire à 100% ! Par ailleurs on a pu identifier la population cible de la maladie que sont les seniors ou les personnes affectées de comorbidité. Chiche qu’attend-on pour vacciner cette population cible avec les vaccins si efficaces ? Pourquoi doit-on vacciner les jeunes enfants de 12 ans ? Pourquoi les vacciner alors qu’ils ont plus de chance de mourir du vaccin que du covid ? Sont-ils des recrues d’une armée de sauvegarde des seniors ? Pourquoi doit-on obliger certaines catégories hors cible à se vacciner comme si l’efficacité proclamée des vaccins par les firmes pharmaceutiques n’était plus tout à coup une donnée médicale statistique intrinsèque mais sociologiquement conditionnelle ? Dans ce cas, pourquoi tous ces cris de victoire sur l’efficacité présumée des vaccins poussés avec frénésie et à gorge déployée par les firmes pharmaceutiques et leurs sbires politico-médiatiques alors que l’efficacité en fin de compte s’impose plus comme une donnée politique et sociale que médicale ?
L’idée même d’évaluer l’efficacité du vaccin par comparaison implicite des pourcentages des morts dus au vaccin et des morts dus au virus est un contresens méthodologique et éthique monstrueux. Car si, selon les meilleures assurances proclamées le virus est d’origine naturelle, le vaccin lui, jusqu’à preuve du contraire est de fabrication humaine. Et dire, comme en Écosse que le vaccin ne tue qu’une personne sur 1000 en un mois (sans préjudice des victimes à long terme) contre 1,4 sur 1000 par le virus relève d’une aberration éthique et philosophique.
Aminou Balogun
