Passion Vaccinale et Consensus Frauduleux : Manip à tous les étages

Malgré la vaccination, le virus sévit toujours. On refuse de l’appeler du même nom, on préfère lui attribuer des  prénoms variables mais qu’importe : il est là et fait le pied de grue, pour la plus grande joie des ayatollah de la vaccination, manipulés comme des zombis ou stipendiés par les firmes pharmaceutiques, qui, on le sait, pensent d’abord à la santé de leurs actions en bourse avant celle des gens. Pauvres gens réduits au rang de cobayes pour soi-disant leur bien.

Les adeptes de la vaccination tiennent un raisonnement pour le moins tendancieux et serti dans de la mauvaise foi ; à moins qu’il ne s’agisse d’un prodigieux déficit de bon sens, denrée devenue rare en cette période fort minable. Toute amélioration de la situation est automatiquement mise au crédit du vaccin, dans un silence assourdissant sur ses effets secondaires souvent lourds, fatals pour des milliers d’innocents – hommes femmes, jeunes et moins jeunes — , victimes sans visage d’un sacrifice tenu pour inévitable. Au grand bruit médiatique qu’on faisait sur le nombre de morts avant la campagne vaccinale fait écho le silence sur ce même nombre qui n’a pourtant pas grandement varié. Car il ne sied pas que des gens meurent pendant que le vaccin est censé faire des miracles. Manipulation cousue de fil blanc. Que n’aurait-on entendu si la chloroquine tuait le millième des morts par vaccination ? Dans le même élan de dénégation délibéré, toute dégradation de la situation est mise au compte de boucs émissaires. Car on part du consensus frauduleux que le vaccin est tout, et tout ce qui n’est pas le vaccin est rien, que le vaccin est la panacée, source de bien et tous ceux qui ont des avis plus nuancés sont dans le camp du mal. La monomanie vaccinale acquiert le statut d’une pensée impérieuse et unique. D’où la diabolisation des soignants. S’ils se vaccinent à 100% leurs malades seront  saufs. Sinon c’est eux la cause du mal.  D’où aussi la stigmatisation de ceux qu’on a vite fait, dans un raccourci tendancieux, d’étiqueter antivax. Comme si le monde était divisé en provax et antivax, comme si ceux qui n’acceptaient pas de se vacciner étaient contre le principe du vaccin en général. Or que dirait-on si le vaccin antitétanique n’empêchait pas d’attraper le tétanos ?

En fait, le problème qui se pose est celui de la fiabilité à moyen et  long termes de produits qui ont le tort de relever d’une conception génique inédite et de ne bénéficier d’aucun recul nécessaire pour l’évaluation de leurs effets. Pourquoi donner le bon Dieu sans confession à des firmes qui n’ont même pas le courage d’engager leur responsabilité sur les produits qu’ils proposent au monde ? Pandémie ou pas, la prudence et la responsabilité doivent prévaloir sur la hâte. Est-ce que les médias qui se taisent aujourd’hui sur les effets indésirables des vaccins rendront compte d’éventuelles conséquences d’une plus grande ampleur dans les mois ou les années à venir ? Ou bien, comme cela se passe déjà à bas bruit et à l’insu de l’opinion, les attribuerait-on de façon circulaire à d’imaginaires causes qui mériteraient de nouveau remèdes plus ou moins futuristes ?

Résumons-nous : quand l’épidémie baisse c’est grâce à la vaccination ; quand la contamination repart, c’est à cause des antivax.  Ces inférences délirantes enrobées dans  la mauvaise foi la plus rance, ne disent rien des gens qui meurent en dépit d’avoir été vaccinés sinon à cause d’avoir été vaccinés.  Il y a bien eu des épidémies qui n’ont pas attendu des vaccins pour refluer d’elles-mêmes après avoir sévi un certain temps. Pourquoi ces inférences tendancieuses ne font aucun cas  d’un reflux spontané de la maladie sans l’intervention des vaccins érigés en Deus ex-machina ? Dans une population vaccinée à 60% si le virus continue de circuler autant sinon plus qu’avant les vaccinations, il y a lieu de s’interroger sur l’effet réel des vaccins sur la circulation du virus et la protection contre les contaminations récurrentes. En tout état de cause, ce serait une énorme menterie que de mettre la persistance de la contagion au seul compte d’une hypothétique plus grande contagiosité d’un hypothétique variant. Et même dans ce cas, à quoi sert le vaccin s’il a besoin de la théorie des variants pour sauver son efficacité ? A ce train et au vu de l’usage rhétorique qui en est fait, la vaccination a tout l’air d’une théorie poppérienne.

Pour un virus censé être venu spontanément, disparaître spontanément est dans l’ordre des choses naturelles, n’en déplaise à Bigpharma et à ses marionnettes politiques et médiatiques, qui remuent ciel et terre pour imposer leur loi infernale de mensonge et de manipulation.

Aminou Balogun

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Un commentaire

  1. Merci à Binason Avèkès pour la diffusion de cette information ahurissante.

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