
En France, tout à coup, lorsqu’il s’agit de vacciner les populations, les médecins sont ressuscités, et ramenés en masse dans la chaîne de soin. Alors qu’au début, quand la maladie faisait rage et qu’il fallait soigner en urgence comme ça a toujours été leur vocation et leur rôle, ils ont été violemment écartés, interdits d’exercer leur métier, de prescrire, parfois pour certains d’entre eux à coup de menaces, de sanctions et de diabolisation. A leurs malades, on avait dit : « restez chez vous, prenez du doliprane, et si vous manquez d’oxygène appelez les urgences. » Histoire bien-sûr de saturer la réa pour ensuite en tirer prétexte pour dramatiser la gravité de la « pandémie » et l’importance cruciale du vaccin. Nous y sommes ; les vaccins sont là en diversité et en quantité ; ayant atteint leur but, ils ressuscitent les médecins. Mais question : quel est ce culte monomaniaque du vaccin qui définit une maladie comme devant exclusivement en être soignée ?
Espérons qu’un jour, au vu des nombreuses victimes innocentes de ces choix iniques et criminels, un « Tribunal de Nuremberg » rendra justice à leur humanité fauchée sur l’autel machiavélienne de la corruption, du lobbyisme pharmaceutique, et de l’autoritarisme transhumaniste.
Ahandeci Berlioz
