
Covid-19 est le chant du cygne de la Démocratie. Non seulement à travers le prétexte que cela donne aux tenants du pouvoir d’instaurer un état d’urgence à durée indéterminée – qui durera certainement aussi longtemps que la téléologie vaccinale qui en est au principe n’aura pas atteint son but. Et quel que soit le qualificatif qu’on ajoute au mot état d’urgence, sanitaire ou pas, d’un point de vue démocratique, un état d’urgence – surtout lorsqu’il est de durée indéterminée – est un état d’urgence, c’est-à-dire une mise entre parenthèses de la Démocratie.
Mais Covid est également le chant de cygne de la Démocratie, parce qu’il est le prétexte déguisé de choix de société, voire de civilisation fondamentaux, que, dans le but d’une gouvernance mondiale l’on veut assener aux populations à l’insu de leur conscience et de leur plein gré, dans le mensonge, la tartufferie d’État, la manipulation et l’oppression psychologique savamment orchestrées. Ces choix de civilisation dont Covid est le prétexte mensonger, dans une démocratie normale, requièrent l’implication et l’adhésion pleine et entière des citoyens par les voies constitutionnelles prévues à cet effet ; de même qu’ils requièrent la pédagogie et le dialogue de la part des dirigeants, dans un esprit démocratique.
Au lieu de quoi, depuis plus d’une année et sans doute désormais on met en place une supercherie pandémique fabuleuse, qui consiste à terroriser les peuples par la hantise d’un virus passablement dangereux ; un virus dont la survenue et la persistance n’ont rien d’aléatoire. Et, dans la même veine manipulatrice, la dramatisation délibérée de la gravité du mal est brandie pour forcer les peuples à se soumettre au fait accompli de la volonté paternaliste d’un ramassis de psychopathes financièrement obèses qui se prennent pour les bienfaiteurs de l’humanité. Tout ceci dans une atmosphère surréelle de pression médiatique qui confine à l’oppression psychologique. Et ce qui est étonnant, c’est que ça marche ! Et le peuple peu à peu s’habitue à ce chant du cygne de la Démocratie, et s’en laisser bercer.
Aminou Balogun
