Covid-19 : l’Ombre du Doute ou le Spectre du Jugement Dernier

Maintenant que le système est entré dans la phase finale de son objectif, mettre en action l’inoculation à des êtres humains à l’échelle mondiale de produits OGM nommés vaccin, la presse mainstream jusque là retranchée dans les combats d’arrière garde et passant le plus clair de son temps  à jouer les autruches, à promouvoir de faux débats, à faire des procès en complotisme à la moindre opinion  déviante, eh bien cette presse retrouve ses esprits, et commence à rentrer dans l’atmosphère du bon sens, après son errance tarifée dans les bauges infectes de la prostitution médiatique.

Ainsi dans le journal le Monde peut-on lire par exemple Covid-19 et santé mentale : « Beaucoup de jeunes enfants ne dorment plus, pleurent beaucoup, s’alimentent mal ». Alors que durant des mois, pour mériter leur salaire versé par Bill Gates  ainsi que les subventions du gouvernement, ils ont passé le plus clair de leur temps à combattre, dénigrer, traiter de complotistes tous ceux qui alertaient contre les conséquences psychologiques des mesures de confinement du gouvernement. Ce rétropédalage en douceur n’est pas seulement sur ce sujet encore moins dans ce seul journal ; il semble correspondre à un timing de retour à la normale, en attendant l’heure du jugement.

Jean-François Delfraissy au Sénat, le 15 septembre 2020
Jean-François Delfraissy

Le coup d’envoi a été donné du reste par le Conseil scientifique lui-même qui sur beaucoup de dogmes initiaux a viré sa cuti. Entre autres méa culpa, Delfraissy et sa bande affirment dans le Lancet : «Il n’est plus possible d’utiliser une succession de confinements généralisés comme réponse principale à la pandémie » ; « Jusqu’à présent, les populations ont eu une attitude relativement coopérative, mais leurs doutes et leur méfiance sont visibles dans les mouvements de protestation observés dans plusieurs pays », relèvent-ils. Ils pointent du doigt les conséquences « dévastatrices » d’une mise sous cloche, notamment du point de vue économique.

Le moins que l’on puisse dire est que presse comme pouvoirs publics ont mis un certain temps pour redécouvrir le nez au milieu de la figure. Le temps du blanchiment des basses œuvres est arrivé…

Le but étant de faire patte blanche, lorsque l’heure des comptes va sonner. Servir le diable le matin et se présenter au soir du jugement aux côtés de l’ange ni vu ni connu, c’est tout un art…

Berlioz Ahandeci

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