
Malgré le conditionnement massif dans lequel le monde entier est plongé depuis plusieurs mois à propos du covid, avec un peu de bonne volonté, on peut se douter un tant soit peu que cette affaire cache des entourloupes et des enjeux.
Comme le montrent les statistiques et l’ubiquité troublante du SARS-CoV-2 le coronavirus responsable du Covid-19, il apparaît que le virus est réquisitionné à son corps défendant, obligé de continuer à sévir méchamment. Car, imaginez que son ubiquité s’abolisse et que sa contamination subisse une inflexion brutale voire une chute létale. Qu’adviendra-t-il de toutes ces bonnes âmes qui s’affairent à concocter un vaccin contre un virus dont personne ne sait grand-chose et qui se réserve le droit organique de muter à tout instant ? Qui paiera les sommes colossales engagées pour sauver l’humanité ? Les contrats qui se chiffrent en milliards d’euros ou de dollars, les engagements d’Etat ? Qui sauvera l’économie sanitaire spécifique du Covid-19 qui, avec les masques et les gels hydroalcooliques, a le vent en poupe ? D’où la bonne volonté du virus qui se dévoue pour jouer les méchants pendant que les sorciers de laboratoire mettent la dernière main à leur potion magique.


Aminou Balogun

Un internaute :
Fake.
En fait, ce médicament fabriqué par les labos indiens est disponible partout dans le monde, sous différentes appellations.
Cette appellation est la forme générique, donc moins cher, et ne doit pas aller concurrencer le même médicament distribué dans les pays riches où il est vendu plus cher en version spécialités.
Donc, tout est OK.
Réponse :
Telle est en tout cas la situation dans laquelle nous ont mis nos dirigeants depuis un demi-siècle en raison de leur incurie, de leur égoïsme, de leur corruption et collusion avec les pilleurs étrangers que notre pauvreté subséquente nous place en position de vulnérabilité et d’indignité politique et économique, de risque par rapport à toute entreprise néfaste à nos populations – stérilisation forcée, intoxication alimentaire endémique, utilisation comme cobaye des industries pharmaceutiques occidentales, etc…
Si bien qu’on n’est pas obligé de croire que ces explications techniques, apparemment logiques, épuisent la question de la nécessaire méfiance des Noirs Africains, face à un occident congénitalement, j’allais dire incurablement antinégrite…