Variant Delta, Virus Médiatiquement Dressé pour Faire plus Peur que Mal

Par rapport au Royaume-Uni le variant delta défraie la chronique, au point d’être devenu la bête noire star des médias. Mais comme le montrent ces statistiques, le nombre de morts de covid au 10 juillet tous variants confondus est de 34 ! En revanche le nombre de « cas » est de 31800 : soit mille fois plus. Ce qui veut dire qu’il y a un mort pour mille cas, soit 0,1%  ! Et – avec tout le respect qu’on a pour les morts, car toute mort est une mort de trop — c’est tout de même étonnant que les média fassent tant de bruit ! Ou bien  le système tient absolument à fourguer ses vaccins et à aller au bout des raisons pour lesquelles le covid est ou bien arrivé, ou bien – à supposer qu’il soit venu tout seul – préférence à été donnée à une gestion dont le caractère calamiteux est savamment concerté à l’échelle mondiale !

Contrairement à ce qui se passait l’année dernière où et le nombre de cas et le nombre de morts par covid étaient égrenés au quotidien dans une tension anxiogène morbide qui entretenait la psychose, le  système a compris le fait que cette méthode inductrice était à long terme une arme à double tranchant vu les limites qu’y induisent certaines constantes annuelles ou catégorielles. Comment expliquer par exemple que la mortalité globale n’ait pas augmenté mais qu’il y eût  tant de morts par Covid ? Alors pour éviter ce type de contradiction, prudents, les malins font fonds sur l’indicateur « infalsifiable » que constitue le nombre de cas. En effet, gonflable à loisir sans grande conséquence, ce nombre sert à alimenter le régime de hantise imposé aux populations afin de justifier des décisions iniques, totalitaires et liberticides comme le « pass sanitaire » et maintenant l’obligation vaccinale dont l’application a franchi la limite du ballon d’essai.

Signalons que  l’on veut vacciner les gens de force avec des substances qui  ont déjà tué des dizaines de milliers de gens, sur l’action desquelles il n’existe aucun recul quant aux effets néfastes potentiels – à court, moyen et long termes ; des substances OGM qui sont loin d’être une arme absolue contre le mal, ne protègent pas contre la contamination, ni contre la circulation du virus. Une politique de santé insensée qui a étatisé la gestion de la pandémie, tourné le dos aux soins et désarmé tout le corps des médecins de ville qui auraient pu être aux premières loges d’une action concertée en vue d’endiguer la maladie.

Ahandeci Berlioz

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