Covid-19, une Maladie Insoignable ?

Le message fort qui a prévalu en Occident depuis l’apparition du Covid est qu’il n’est pas question de le soigner. Et l’inexistence d’un accord essentiel sur une médication, une année après, en est la preuve évidente.

Si vous prenez le cas de la France, ce message clair a été décliné à travers une série de décisions aussi farfelues qu’implacablement imposées.

  1. Il y a le fameux « restez chez vous, prenez du doliprane et si cela s’aggrave appelez les Urgences »
  2. Mise hors jeu des médecins de ville, traités comme des moins que rien, et surtout priés de ne pas se mêler du Covid, érigé en maladie d’Etat, géré par l’Etat d’urgence et les responsables de l’Etat, le Chef de l’Etat en tête qui s’est découvert une vocation d’épidémiologiste.
  3. Interdiction aux médecins de prescrire
  4. Diabolisation médiatico-institutionnelle des récalcitrants qui, cédant à l’élan naturel de leur vocation, se piquent de proposer des médications.

Dans le monde tous les élans spontanés pour soigner la maladie ont été découragés, ridiculisés,  et tournés en dérision. Le cas de l’Afrique est exemplaire de ce mépris. En Afrique dès le début de la maladie, le professeur béninois Valentin Agon a proposé un protocole basé sur un antiviral, Apiviral, dont l’efficacité a été soumise a des tests qui paraissaient prometteurs ; mais curieusement tout cela a été vite balayé, renvoyé dans un silence assez troublant. Même chose pour le Covid Organics proposé par Madagascar dans un effort qui, en l’occurrence n’était pas une proposition libérale mais nationale soutenue par les pouvoirs publics, le président Rajoelina en tête ! Mais hélas  les oppositions ont surgi d’un peu partout, notamment dans les médias occidentaux pour dénigrer ces efforts, et le coup de grâce est venu de l’OMS elle-même qui met en garde contre son utilisation ; alors que la même OMS et les mêmes médias encouragent  et naturalisent aujourd’hui les vaccins  qui tuent des milliers de gens dans le silence, sans parler des effets secondaires à moyen et à long termes.

En France, pour ne citer que ce cas paradigmatique du refus de soigner le covid en dehors de la téléologie vaccinale, il y a la diabolisation orchestrée et du professeur Raoult et du protocole qui porte son nom, une bithérapie à base de chloroquine et d’Azithromicine. Diabolisation qui a atteint son point d’orgue avec ce qu’on a appelé le Lancetgate, la publication d’un article bidonné contre la chloroquine sur la base duquel le Ministre de la santé a interdit sa prescription. Et même lorsque le larcin  a été découvert et reconnu comme tel, le Ministre n’a pas cru devoir rectifier le tir.

En Afrique comme dans le monde, maint médicament, soit repositionnés, soit nouveaux sont proposés mais qui sont ignorés ; tout le monde sait le cas de l’ivermectine qui a des effets positifs multiples reconnus sur la maladie mais qui laisse parfaitement indifférents les pouvoirs publics en Occident, peu pressés de le proposer aux populations, pendant que les autorités médicales envoûtées par Bigpharma fomentent des  controverses et multiplient des procédures dilatoires pour discréditer son efficacité.

Ajoutons pour compléter ce tableau pour le moins intrigant, qu’aucune campagne nationale n’a été initiée dans les médias en Occident – tout au moins en France – pour encourager les populations à se prendre en charge et stimuler leur immunité, comme la consommation de zinc, de vitamine D, vitamine C, l’hygiène de vie, le sport, etc. Au lieu de quoi on encourage les gens à porter le masque en plein air  dans l’intimité narcissique du bouillon de culture de leur propre respiration. Alors qu’on pouvait croire que c’est le principe même de la campagne publicitaire d’incitation au changement de comportement qui est devenu obsolète quelle n’est pas la surprise de voir surgir ces derniers jours dans l’espace urbain des publicités sur une campagne de tolérance à l’homosexualité ! Voilà ce qu’il y a de plus urgent en ces temps de pandémie, et de variants ! Peut-être est-ce là le volet transhumaniste du contexte actuel ? Il faut le croire !

Résumons-nous. Voilà une maladie qu’il ne faut pas soigner. Cela est clair et devrait intriguer au risque d’être accusé de complotisme par les mêmes qui, assurés de l’inexistence de complot derrière toutes ces décisions farfelues, cette charrette de mensonges et d’erreurs,  stigmatisent volontiers ceux qui osent douter ou s’écarter de la pensée unique dominante.

Alors questions à ces champions, détecteurs chevronnés de complotistes :

  1. Comment se fait-il que depuis plus d’une année aucun médicament n’a émergé pour soigner la maladie ?
  2. Pourquoi le principe de précaution qui a impitoyablement frappé la chloroquine qui n’a pas tué grand monde depuis des décennies ne s’applique-t-il pas aux vaccins qui, en l’espace de quelques mois, ont déjà à leur sombre actif, des milliers de morts et des centaines de milliers de victimes d’effets secondaires plus ou moins graves dont aucun média ne parle ?
  3. Pourquoi vote-t-on en Europe le passe sanitaire alors qu’aucune certitude n’est établie sur l’efficacité préventive des soi-disant vaccins, contre le portage, la circulation du virus, la transmission, la contamination et la re-contamination.
  4. Pendant combien de temps se vaccinera-t-on contre Covid ? Y aura-t-il un abonnement vaccinal ?
  5. Pourquoi veut-on vacciner les enfants, alors qu’il suffit de vacciner  les personnes les plus fragiles,  celles dont les statistiques ont établi la fragilité vis-à-vis de la maladie ?

Est-ce être complotiste que de poser ces questions ? Qu’il y ait une pandémie, cela se comprend. Que la gestion de cette pandémie, sa troublante persistance aient l’air de vouloir justifier et favoriser la téléologie vaccinale est autre chose. Ce qu’on appelle abusivement « vaccin », ce jus à OGM toxique, est-il un remède miracle et unique contre la pandémie ? Le Covid est-il une maladie insoignable ?

Adenifuja Bolaji

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