
On peut – en assumant le risque d’être étiqueté complotiste – soupçonner une malveillance organisée dans un but de contrôle, d’expérimentation diverses sur les populations à des fins géopolitiques ou politiques, impliquant ou supposant de ce fait une préméditation sinon une provocation de la survenue de la pandémie.
Mais on peut, excluant la thèse du complot, accorder aux covidistes : gouvernements, pouvoirs publics, Bigpharma, ONG, et médias rageusement coalisés le bénéfice de l’humanité, de l’honnêteté et du doute.
Toutefois, là où on reste perplexe et où on doit les accuser sans faiblesse, c’est dans la décision des gouvernements, rendue souvent obligatoire par des moyens fourbes, et soutenue passionnément par les médias, l’abjecte décision d’inoculer à des gens contre leur consentement éclairé une préparation abusivement dite vaccinale ; inoculation forcée, effectuée sans aucun recul, sur fond d’interdiction absolue de toute autre médication alternative, avec une multitude d’effets secondaires dont certains sont graves voire foudroyants ; et sur la réalité des calamités desquels plane aujourd’hui un silence crapuleux et gêné. Rien ne justifiait cette décision !
Alan Basilegpo
