En 2019, soit plus de deux ans passés, un virus nouveau a fait son apparition, et causé une maladie qui a chamboulé le monde et sérieusement mis à mal le train-train habituel de l’humanité d’un point de vue social, économique, politique et sanitaire.

Pour enrayer le fléau, sous l’égide de l’OMS, les gouvernements ont mis en place et souvent imposé sans autre forme de procès des mesures prises dans une impréparation somme toute compréhensible, étant donnée la surprise de la survenue de la maladie ; mais compréhensible seulement en partie étant donné  qu’un exercice de  simulation d’une telle crise avait été organisé quelques mois plus tôt par le ban et l’arrière-ban des tenants du monde, –organisations gouvernementales et ou privées, bonnes volontés douteuses parce que plus ou moins intéressées

Les mesures pour endiguer le mal à défaut de l’enrayer sont : le confinement, les masques, la distanciation « sociale », la vaccination, et le pass — sanitaire/vaccinal

À chaud, bien que ces mesures fussent simultanées pour certaines ou successives, contraignantes pour tous, leur mise en œuvre paraissaient compréhensibles. Il fallait, selon le discours officiel relayé par les médias, sauver des vies, protéger les personnes – encore qu’en la matière les gouvernements surtout en occident n’avaient pas fait feu de tout bois et avaient avec une troublante fermeté, mis hors jeu certaines approches médicales accusées d’être dangereuses en dépit de leur conformité à l’éthique médicale traditionnelle héritée d’Hippocrate (soigner les malades).

Mais ce qui est curieux, c’est que depuis plus de deux ans que ce virus a installé son tréteau mortifère dans le monde, aucun gouvernement, aucune organisation spécialisée n’a été inspiré de mettre  en place des études sérieuses pour évaluer l’efficacité, le sérieux, l’innocuité ou l’utilité des nombreuses mesures dont furent et restent pour beaucoup assommées les populations. Aucune étude visant à répondre aux questions fondamentales posées à priori et a posteriori par Covid.

Il y a des pics de mortalité énormes dans les trois premières semaines après la vaccination » Dr Martin Zizi (Partie 2)

Les questions légitimes que soulèvent le virus Sars-Cov2 ainsi que la maladie qu’il est censé avoir générée, les mesures diverses  prises pour enrayer la crise et qui pour la plupart continuent d’être imposées soit dans la polémique des « médecins de plateau »,  soit dans le silence scientifique ; ces questions n’ont fait l’objet d’aucune étude et ne sont nulle part prises au sérieux afin qu’y soient trouvées des réponses dignes de ce nom, parce que légitimement attendues par les populations !  

La première question porte sur l’origine du virus. Depuis deux ans l’origine du virus est un polar sans issue. Mais les mesures pour enrayer le mal posent encore plus de questions que l’origine du virus : le confinement est-il oui ou non efficace ? A-t-il fait plus de bien que de mal ? Le masque, en dehors des contextes cliniques ou  hospitaliers,  est-il utile voire efficace ? Est-il au contraire, un facteur d’aggravation de la mortalité du Covid ? Les vaccins faits à la va vite sont-ils efficaces ou de dangereux placebos ? Sont-ils des vaccins ou  des  injections médicamenteuses ? Le pass sanitaire, sans parler même du pass vaccinal, a-t-il un sens au vu de ce que l’on sait sur l’indifférence des vaccins au portage du virus et à la contamination ?

Dans des pays qui vouent un culte idéologique à la raison et font du savoir la clé de voute de leur puissance sinon de leur existence, des pays se conformant en toute circonstance à des règles rigoureuses, comment se fait-il que plus de deux ans après cette crise, toutes ces questions sont orphelines ou laissées dans un flou artistique?

Curieux  non ? Revolant voire !

Aminou Balogun