Quand ceux qui les payaient n’y avaient plus intérêt, les journalistes qui s’étaient fait une spécialité dans l’art de s’en prendre à Yayi Boni ont déposé les armes et sombré dans un silence de nécropole. Rétrospectivement, on a peine à croire que toute cette ardeur était stipendiée.

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