L’Occident, et pour être précis, les États-Unis ont perdu la guerre contre le Russie  via l’Ukraine. Celle-ci dirigée par un acteur en manque de contrat professionnel en bonne et due forme, a cédé au script méphistophélique des Occidentaux : utiliser l’Ukraine comme une compagnie militaire privée de l’Occident. Deux années après, l’euphorie et le fantasme délirants ont fait place à la tragédie d’un pays dévasté, exsangue, économiquement sous perfusion, avec plus de 500. 000 victimes militaires.

Alors,  histoire de continuer à berner les populations gavées de propagande, Zelinsky dos au mur a choisi le terrorisme comme moyen d’expression de son désarroi et sa dénégation du réel, pourtant gros comme le nez au milieu de la figure. Au lieu de passer à table – à tous les sens du mot – il préfère se livrer à des actes de terrorisme, que la presse et même les politiques occidentaux applaudissent, subliment, soutiennent et rationalisent, comme si en fin de compte il y avait deux sortes de terrorisme : le terrorisme du Hamas ou des Arabes, et le terrorisme des Occidentaux, qui n’est pas du terrorisme, mais comme le dit pince sans rire le président français, de l’autodéfense. Ah, si les mots avaient encore un sens en Occident ! Et si ceux qui les utilisent avaient encore un reste de dignité !

Faute de grives on mange bien des merles, mais de grâce pas de la merde !

Boris Azzedine