Non, il n’y aura pas d’après-covid

En Occident, à voir les agissements des États dans la gestion du Covid, marquée par des excès, des décisions autoritaires et des lois liberticides votées ou avalisées par les institutions d’État, le silence sournois sur les effets secondaires d’une vaccination qui fait des victimes par centaines de milliers, à voir la répression policière qui s’abat  sur ceux qui résistent démocratiquement à cette tyrannie totalitaire, on se demande d’où les États tirent ce cran ? Pourquoi quittent-ils la proie des valeurs pour l’ombre de  l’idéologie chinoise ? Et qu’est-ce qui les assure de toute impunité dans une période qu’on pourrait appeler celle d’après Covid ?

A la vérité, en dépit de la naïveté de la multitude droguée et conditionnée par les médias aux ordres, il ne risque pas d’y avoir un après Covid, car les tendances liberticides qui s’observent maintenant s’installeront dans les habitudes, iront en s’affermissant, et seront naturalisées par les médias, qui rendent invisibles tous ceux qui s’opposent à ce qui se passe ou les milliers de morts dues à la vaccination.

Renonçant à ses valeurs pluriséculaires au nom d’un scientisme sans lendemain, l’Occident est prêt à se mettre sous le parapluie axiologique de la Chine. Il croit peut-être que ce travestissement est une manière de se mettre en ordre de bataille contre le nouvel ennemi chinois, mais il ne fait que creuser sa tombe, d’une manière aussi stupéfiante que pathétique.

Ainsi, les gens qui dirigent les choses en Occident, de la France jusqu’à l’Australie en passant par les États-Unis d’Amérique, se placent dans une optique sans un après Covid, contrairement à ce que croit naïvement la multitude chloroformée par les média. Surtout si cet après-covid imaginaire supposerait que les dirigeants rendront compte alors de leurs agissements et décisions liberticides.

Bien qu’il marquera durablement l’histoire de l’humanité, le Covid n’est pas la seconde guerre mondiale et n’aura pas son Nuremberg, même s’il a ses Mengele et ses milliers de sacrifiés sur l’autel d’un scientisme eugéniste triomphant.

En effet, rien qu’à voir l’arrogance et les excès politiques des dirigeants occidentaux, la fureur de leurs  décisions, le cynisme à l’égard de la vérité,  leur mépris du peuple, on peut déduire aisément qu’ils sont assurés d’aller en toute impunité vers un nouveau monde, celui pour lequel ils travaillent de façon concertée. La multitude amnésique droguée par les médias les applaudira béatement, et les criminels auront raison parce que BFM, Cnews ou CNN en auront ainsi décidé…

Aminou Balogun

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